Un petit hymne fait toujours plaisir

Un cri de guerre ça marche aussi?

Si tu veux mais mieux vaut un hymne.

Je vais tenter de me rappeler des paroles de la comptine bien connue

"le bon roi d'allister avait mis sa culotte à l'envers"

et encore plusieurs chansons!

A l'aube de Descendre.
A l'aube de déscendre,les radios résonnent
De mélodies divines, dans toutes les ravines
Les chants de bananiers bruissent en sourdine
De ces "chantés Nowel" qu'en veillée on fredonne
Amis,voisins, bwork, kanigrou, voisines,leurs maisons abandonnent
Accourent sur les places aussi gamins gamines
C'est la fête au village d'astrub,sur des airs de biguine
Les amaknéens au coude à coude,les gais refrains entonne
Même le marchand de glace qui passe par les rues
Réjouit les enfants égrenant sa venue
De traditionnelles notes de "vive le vent..."
Les cloches carillonnent,les coeurs endimanchés
Soufflent des airs de paix de joie et d'amitié
Et explosent d'espoir"Noël aux quatre vents"
Nous devons chanter tous une chanson: Peuuutiii papa nowellllll !
quand tu descendra du cielllll !

et:




Une fois la fenêtre refermée, je me retournais,
Juste quand le Père Nowel sortait de la cheminée.
Son habit de fourrure, ses bottes et son bonnet,
Etaient un peu salis par la cendre et la suie.
Jeté sur son épaule, un sac plein de jouets,
Lui donnait l'air d'un bien curieux marchand.
Il avait des joues roses, des fossettes charmantes,
Un nez comme une cerise et des yeux pétillants,
Une petite bouche qui souriait tout le temps,
Et une très grande barbe d'un blanc vraiment immaculé.
De sa pipe allumée coincée entre ses dents,
Montaient en tourbillons des volutes de fumée.
Il avait le visage épanoui, et son ventre tout rond
Sautait quand il riait, comme un petit ballon.
Il était si dodu, si joufflu, cet espiègle lutin,
Que je me mis malgré moi à rire derrière ma main.
Mais d'un clin d'oeil et d'un signe de la tête,
Il me fit comprendre que je ne risquais rien.
Puis sans dire un mot, car il était pressé,
Se hâta de remplir les bas, jusqu'au dernier,
Et me salua d'un doigt posé sur l'aile du nez,
Avant de disparaître dans la cheminée.
Je l'entendis ensuite siffler son bel équipage.
Ensemble ils s'envolèrent comme une plume au vent.
Avant de disparaître le Père Nowel cria :
" Joyeux Nowel à tous et à tous une bonne nuit "

Spok. Aller encore des chansons!




Un jour j'irai à Bonta avec toi
Toutes les nuits déconner
Se balader dans les donjons des rats
Avoir la vie partagée, tailladée

Bercé par le ronron des zaapis caressés
Dormir dans une auberge délatée
Traîner dans l'arène et voir les coups tout casser
Voir les monstres mourir et saigner
Oui, saigner !

Un jour... J'irai là-bas
Un jour Chacha, un autre Kolérat
Voir si le coeur de la ville bat en toi
Et tu m'emmèneras
Emmène moi !

Un jour j'aurai Bonta au bout des doigts
On y jouera, tu verras
Dans les tavernes il fait noir, mais il ne fait pas froid
Il ne fait pas froid si t'y crois
Et j'y crois !

Les lampadaires sur les murs ont parfois
La forme des sons que tu bois
Et puis c'est tellement grand que vite on oubliera
Que nulle part c'est chez moi, chez toi
Chez nous quoi !

Un jour... J'irai là-bas
Un jour Chacha, un autre Kolérat
Voir si le coeur de la ville bat en toi
Et tu m'emmèneras
Emmène-moi, mène-moi
Toucher à ci, toucher à ca
Voir si le coeur de la ville bat en moi
Et tu m'emmèneras !
Emmènes moi !


Et aussi:



J'ai toujours préféré
Au enus les enis
Dont les soins d'Amakna
Ondulent sur mes points d'vie
Je me suis inventé
Un amour d'aspirine
Où glisse sa cape noire
Sa bague sur ses doigtés

De mon combat d'en face
J'caresse ma petite masse
J'maudit les p'tits gobelins
Ainsi qu'les serpentins
Découpant en tranche la moindre p'tite planche

J'ai toujours préféré aux enus les enis
*encore*

Qui sèchent leurs p'tites ailes
Au vent près d'leur maison
C'est un peu toi qui chante
Quand tu chantes cet hymne
Invité à l'event
Du journal du Maimag

De mon combat d'en face
J'caresse ma petite masse
Je maudit tout les noobs
Inventeurs du hackage
Plus de belle voisine
A ses cache poitrine

J'ai toujours préféré aux enus les enis
*encore*

Qui vident leur inventaire
En quête d'un peu d'kamas
Dans 5 jours environ
Tu reviendras plus fine
Tu les séchera bien sur
Dans mon champ de vision

De mon combat d'en face
J'caresse ma petite masse
Concurrence déloyale
De ton nouveau voisin
Un deuxième regard
Interrompt ma transe

Puis de nouveaux rideaux
Et c'est la goute d'eau
Un nouveau familier
Me cache ses petits pieds
Une maison de iopette
Construite devant ma fenêtre
Non loin de la grande plaine
Elle me dit bien "Je T'aime"

Aller,une autre!



C'est dans dix ans je m'en irai
J'entends le Meulou et le Lenald chanter

J'entends le Meulou, le Lenald et la Beletteuh
J'entends le Meulou et le Lenald chanter

C'est dans neuf ans je m'en irai
La Drago' d'Michao a passé dans le pré

La Drago' de Michao et son petit dindon
A passé dans le pré et mangé tout l'pichon

Nowel viendra les gars, Nowel viendra
La Drago' de Michao, elle s'en repentira

Spok.

Voila deux chansons épiques et tout!


Ici https://www.dailymotion.com/video/x62qf3_dofus-gurdil-video-enuecafecaeni_creation



Et la https://www.dailymotion.com/video/x6t9tx_dofus-naheulbeuk-video-2-a-laventur_creation

Pas mal les chansons elles sont jolies mais longues.

Tout d'abord, je commence par un poème sur les Iops!

"Un Iop est une andouille dangereuse.
Une vraie nouille qui est hargneuse.
Si vous en croisez un qui est fâché
Restez hors de son chemin.
Il croira que vous voulez le tuer,
Et tenteras de vous trancher une main.
Bref, tout Iop qui se respecte, je le dicte,
Tout Iop qui se respecte a un QI de truite."

Pourquoi pas sur les srams?

"Un sram est quelqu'un de rusé,
qui sait se servir d'invisibilité.
Ces disciples qui sont assez sournois
N'ont pas de pitié envers les bourses des riches bourgeois.
Ils savent poser des pièges qui sont dévastateurs,
Et si on les regarde de trop près, on a pas d'autre choix que d'avoir peur.
Tout sram subtil, sans aucun cas
Doit voler un grand nombre de kamas
Pour être reconnu comme un disciple honoré
Et un ennemi qui est capable de terroriser."

Pandawas maintenant!

"Panda bourré ne sait ou aller.
Avec sa vision dédoublée, c'est normal qu'on le voit tituber.
L'alcool que le panda boit est non seulement très fort,
Il permet de se discréditer de toutes les actions qui mènent à tort.
Un panda qui boit est un panda en santé.
C'est ce que là-bas ils disent, mais qui paie pour notre sécurité?
Car un panda saoul peut être trop généreux,
Alors qu'un panda saoul fou, peut mettre le feu
À tout ce qui lui apparaît comme flou,
En pensant que ce qu'il fait, pour tout le monde, c'est le mieux.

Hum, parlons des Enutrofs.

"Les objets rares, ils savent les trouver.
Probablement qu'avec leur âge, ils ont développé
un talent, voir une habileté
À décerner tout ce qui peut être considéré comme un objet valorisé.
Que ce soit dans Astrub, ou dans le fond des plaines de Cania,
Les enutrofs ont l'habitude de tout trouver comme ça.
Malheureusement, ça frustre certains aventuriers,
Ce qui poussent les enutrofs à être rejetés.

Ensuite ils disent qu'ils vivent la solitude,
Quand les autres finissent par tout vouloir, ça devient une habitude
de rejeter ceux qui peuvent trouver ce que l'on veut
Mais les enutrofs ont besoin d'attention, ils se font vieux...

Pourquoi pas les minis Xelors...

"On leur a dit de manger leur croûtes quand ils étaient petits,
Les Xelors entêtés n'ont pas écouté.
Ils sont condamnés à rester minis.
Malgré leur taille qui leur donne faible crédibilité,
certains disciples savent se démarquer.
Que ce soit par un coup de marteau légendaire,
ou parce qu'ils sont tout simplement attachant,
Les petits Xelors ont les pieds sur terre
Quand viens le temps de porter un jugement.
La vie ou la mort? Le cadran décidera,
On aura la réponse quand la petite aiguille s'arrêtera."

La, je vais faire un poème sur les cras.

"À l'étendue de la nuit noire s'étend une silhouette.
Celle d'une personne tenant un arc, et munis d'un carquois.
Avec son talent de tireur, il se la pète,
Car il n'a jamais manqué le milieu d'une cible
ne serais-ce qu'une seule fois.
Un disciple de Cra, les cheveux dans le vent
La tension de la corde relâche, le bruit d'une flèche sifflant
à travers l'air.
Malgré ses cheveux dans le visage,
La flèche démolit les chafers.
C'est ce qui fait de ces archers,
Des ennemis puissants, que vous aimez avoir de votre côté."

Et la,c'est sur les Ecaflips!


"Aussi chanceux qu'un enutrof,
Aussi agile qu'un tofu.
C'est difficile de trancher une étoffe
À ces matous hardus.
La chance est très souvent de leur côté,
Ce qui fait d'eux des adversaires imprévisibles.
Mais si la chance décide de tourner,
Une Ecaflip sera tout le contraire d'invincible.
Dans leur vie tout n'est qu'un jeu, une partie de cartes.
Mais quand l'autre a la bonne main, c'est mieux si ils partent.
On ne peut pas toujours compter sur la chance,
Mais eux ont neuf vies.

Et la,les osamodas!

"Ça commence par un tofu, ça fini par un dragon
Les Osamodas, vrais pros de l'invocation.
Ils peuvent compter sur plusieurs bêtes sauvages,
Pour eux, invoquer des alliés c'est aussi facile que de dire <fromage>.
Ils sont reconnus pour leurs violents coups de fouet,
Le claquement est tellement fort qu'un bouftou en exploserait.
Ils se servent bien de la frappe du craqueleur
ainsi que de la griffe spectrale,
Parfois c'est à faire peur,
Alors que dans d'autres cas c'est banal.
Un Osamodas peut ébahir avec ses connaissances,
Mais ne lui demandez rien de ce qui se tien hors de son domaine.
Il risque de ne pas répondre avec aisance,
Invoquer le dit dragon, et vous vous ferez brûler la couenne..."
Si le hazard donne un peu de clémence,
Tout ira bien pour eux, et ils ne vous donnerons aucun répit."

Et la,un Féca!



Armure et bouclier
Pour mieux vous protéger
Défense

Puissants bâtons enchantés
Et les Glyphes, à ne pas oublier
Offense

Courant dans la tempête, les cheveux dans le vent
Un coiffe sur la tête, il est toujours partant!

Charismatique au soleil
A son passage on s'émerveille
Le voila

Mystérieux sous la lune
Il comble les lacunes
Feca

Et la,un petit poème sur la vie de l'aventurier.

"On commence aux bouftous,
Pour en terminer au chêne mou.
Équipé en aventurier,
Pour plus tard, porter du meulou.
Toute une saga s'écoule,
Les gens évoluent.
Certains restent peureux, de vraies poules
Pendant que Bonta et Brakmar se tuent.
On y voit de valeureux guerriers,
Et des personnes qui ne savent pas brandir l'épée.
Tout le monde a droit à un peu de compassion,
C'est pour ceci qu'on dit qu'aux gens d'ici
Faites preuve de jugement, bandes de bouftons!"

Qui a dit que les tavernes d'Amakna n'étaient pas animées ? Laissez moi vous partager une chanson entonnée lors des fêtes de tavernes!


Massacrons nous dans la taverne!



Les Iop à droite et les Crâ à gauche,
Massacrons-nous dans la taverne,
Y’en à qui disent que la danse est moche,
Mais tout ça c’est des balivernes !


Prenez la hache de votre voisin,
Envoyez là sur vos ennemis,
Si les Crâ sont encore là demain,
On pourra les manger farcis !


En formation disciple de Crâ,
Vous visez un Iop au choix,
Si vous arrivez à le toucher,
Faudra courir un peu mieux qu’ça !


Les Iop à droite et les Crâ à gauche,
Massacrons-nous dans la taverne,
Y’en à qui disent que la danse est moche,
Mais tout ça c’est des balivernes !


Attrapez l’Crâ qui est à vot’droite
Et foutez-lui des coups d’massue,
J’avance d’un pas, j’recule de quatre,
Et j’lui mets un coup d’pied yahaaa !


Sortez vos dagues et plantez-les
Dans l’œil de votre voisin d’en face,
Si vous lui toucher l’cervelet,
Tournez deux, fois sautez sur place !


Les Iop à droite et les Crâ à gauche,
Massacrons-nous dans la taverne,
Y’en à qui disent que la danse est moche,
Mais tout ça c’est des balivernes !

Et alors euuu c’est fini ?
Non !

S’il reste un Crâ encore vivant,
Attrapez-le par les cheveux,
Coupez lui les jambes c’est marrant,
Ça court moins vite et c’est tant mieux !


Sautant sur vos boucliers,
Vous surfez dans les flaques de sang,
Foncez sur tous les rescapés,
Quand c’est fini on est content !


Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiaaaaaaaaaaaaa !

Pour compléter les nombreux poèmes de Syrnamx sur les différentes classes du monde des 12. Je vais également conter celui des Sacrieurs

*se racle la gorge et chante d'une voix hardie*

O disciple Sacrieur!
Toi qui trouve ton bonheur.
Dans le sang et la douleur.
Vagabondant sans peur.

O disciple Sacrieur!
Au combat tu sème la terreur.
Étripant tes ennemis avec fureur.
Et protégeant tes alliés avec ardeur.

O déesse Sacrieur!
Donne nous la force dans la douleur.
Aide nous à surmonter la peur.
Et illumine nos cœurs

J'aurai aussi pu vous chanter quelques rituels sacrés Koalaks mais j'ai quelque peu peur que vous vous en lassiez. De plus, ça ne le fait pas vraiment sans le tambour Konkonkiki sacré et le feu de bois de kaliptus sec qui crépite.